Retrouvez les meilleurs moments de la chronique "Le Pavé dans la toile" de César Monteyrol sur Séance Radio la radio de tous les cinémas.
Je dois le dire aujourd'hui, j'adore les films de cape et d'épée. Peut-être est-ce parce que j'aime les aventures qui se terminent bien, la distinction des personnages, la gaieté et la simplicité qui semblent jaillir de ces histoires à la morale toujours vertueuse... bref ! En ce jour je vous propose donc de faire une petite rétrospective de ce genre si cher à mon cœur.
Avant, il était absolument impossible de se passer d'un projectionniste. Normal, leurs connaissances et leur expertise étaient trop prépondérantes au bon fonctionnement des cinémas. Mais, depuis l'arrivée du numérique, ces derniers ont été relégués au second plan, se contentant de lancer les films via leurs tablettes, de vérifier les tickets ou encore de s'occuper de la buvette. Aujourd'hui je vous propose donc de faire le point sur cette profession grâce à deux projectionnistes : Cantor Rabant qui officie au cinéma Le Balzac et Lawrence Faudot, un ancien du métier qui dirige aujourd'hui le cinéma Publicis. Interviews croisées.
Le concept du Mobile Film Festival est simple : 1 téléphone - 1 film - 1 minute.
Pour sa 12ème année d'existence, le MFF s'ouvrait à l'international avec la participation d'une soixantaine de pays, pour un total de plus de 700 films venus donc, du monde entier. Une bien belle programmation pour cet événement progressiste, symbole d'un état d'esprit qui monte dans le cinéma, celui que tout le monde peut être réalisateur et partager ses idées. On y était !
Alain Figlarz, le chef cascadeur français. by Séance Radio
Le cinéma d’Amérique latine est en plein évolution. Il y a notamment une nation qui émerge à vitesse grand V : la Colombie. Ce pays marqué par la guerre depuis des décennies entrevoit depuis quelques semaines la fin des violences et une avancée conséquente de la paix. Avec ce contexte de tensions, le cinéma colombien s'est spécialisé dans des films très ancrés dans le réel, très proches des gens et de la vie de tous les jours. A l'image d'El Abrazo dela Serpiente, récompensé à la quinzaine des réalisateurs de Cannes en 2015, le cinéma colombien brille, pointe du doigt et raconte des histoires qui se veulent vraies, ou du moins vraisemblables. Grace à Liliana Galindo Ramirez, nous tentons de tracer un portrait de ce cinéma si particulier.